23.07.08

Les prochaines signatures

Ecrit dans Actualité à 21:38 par Bernard-Roger MATHIEU

Au chapitre prévisionnel des sorties d’Alfred le Wisigoth on voudra bien noter:

  • signature à Bonifacio en Corse fin juillet ( date à fixer )
  • signature courant aout à Leclerc Carcassonne ( date à fixer )
  • participation au salon de Limoux le dimanche 28 septembre 2008 aux Arcades du livre, 18e salon du livre et de l’écrivain audois.
  • signature au salon du Livre de Carcassonne, samedi 15 novembre, Centre européen des Mythes et Légendes http://www.liber-mirabilis.com

Comme d’habitude, les nombre de livres étant toujours limité (par mon éditeur), il est prudent de réserver en m’adressant un courriel. Et cela ne mange pas de pain…

Ceussssssssses qui désireraient qu’un conférencier alerte et distingué ( en la personne d’Alfred) se déplace dans votre établissement, votre association, votre village, votre maison de retraite… il y a toujours des possibilités. Il suffit de prendre rang. Soirée succès garantie .

Qu’on se le dise !

5 août ” Vide Granier” à Mauléon

Ecrit dans Le coin des copains ces coquins à 19:56 par Bernard-Roger MATHIEU

Didier Granier prinde de MauléonDerrière ses lunettes de grand garçon étonné Didier Granier veille.

On le dit “broc” comme on pourrait appeler un oiseau … “oiseau”. Nous le nommerons “conservateur” comme on devrait appeler l’oiseau par son vrai nom.

Car un aigle Madâme, ce n’est pas une pie.

Car ce Garnier Môsieur, c’est un découvreur, pas un fouille grenier.

Le 5 août prochain tout ce que Castelnaudary compte de curieux sera à Mauléon.

Pour y voir quoi ?

Bonne question, merci de l’avoir posée: Didier a mis la main sur le fonds Ramon.

*un CD a été gravé et, est à disposition pour 15€ TTC (tous talents compris)

Ramon était un photographe à l’ancienne. Un journaliste autant dire. Il photographiait sa ville. Ce qui s’y passait. Tout ce qui y vivait. C’était à l’époque où on savait ce que photographier voulait dire.

Et d’un seul coup d’un seul la Castelnaudary du début de l’autre siècle, façon sépia, remonte à la surface d’un lac de merveilles.

Plusieurs centaines de photos de gosses en blouses grises, de papis moustachus à souhait, d’Eléonore gardiennes d’oies ( probablement celles de Joseph Delteil ) de bonnemamans et leurs cassoles odorantes s’installent en devanture de notre intérêt où se mêlent sentiments, souvenirs et pincements au cœur à l’appui.

Du cireur de chaussures cosmopolite et élégant, il en a fait son affiche. Celle que l’on verra bientôt partout dans Castelnaudary. La halle aux grains va bientôt dans sa nouvelle robe de mariée célébrer ses nouvelles noces avec le monde contemporain. Vous voulez la voir à l’époque…. Rien que pour comparer ? Et le chemin va ainsi allant d’un cliché à un autre. Des centaines d’épreuves, comme on disait alors, prises sur le vif. Nous parlerons de documents.

C’est donc le 5 aout et nous sommes conviés vers 18 heures dans ce passé comme jamais nous ne l’avions vu. Expo visible à Mauléon gratuitement jusqu’au 31 aout

- renseignements: 04 68 94 10 87 Mobile: 0607742087

- sur Google: taper didier gradier + castelnaudary apparait une carte qui indique l’itinéraire.

Photo dans l’album: Didier Granier prince de Mauléon

14.07.08

NOUVEAU… Alfred fait de la photo

Ecrit dans Actualité à 19:17 par Bernard-Roger MATHIEU

Marianehttp://www.kizoa.fr/i-Contact/sflex.swf?fmode=5&did=1401&kc=8662124

Le Wisigoth est un errant. Il va, vient… cherche. Alfred, en cueillant dans la nature les sujets de ses histoires, dialogue avec l’environnement. Une herbe folle vient à frôler du pistil le regard d’une fenêtre inoculée. (Toi-même !) Inoculée donc d’un virus magique transformant la bâtisse qui la tient en reine des près, des vignes, des champs…

Clic-clac.

Elles sont dans les vignesUne odeur de vent venue de la mer ou de la montagne, un rayon de lumière écouvillonne les pupilles posant son doigt là où ça fait balle ( donc mouche) et revivent ces cabanes, ces maisons de vent semées dans l’oubli de la vile campagne. Ce détail de viduité marque la distance prise avec un monde de labeur rempli de noblesse. Là ont travaillé des ouvriers agricoliens ( ou agricolistes comme on veut) à l’époque du vélo où les kilomètres se pédalaient à la sueur des genoux. On ne rentrait pas tous les soirs. L’hiver un coin de cheminée flambait à la lueur des sarments éclairant quelques petits mètres carrés. Pour seul compagnon un cheval entretenait parfois la conversation.

Alfred revisite la baraque. La cassera-t-il ? Certaines ne tiennent plus qu’à une pierre qui branle ou à un lierre venu tricoter des années d’abandon.