16.02.12

Le chandelier à 7 branches de retour

Ecrit dans Actualité à 19:43 par Bernard-Roger MATHIEU

ROMAN HISTORIQUE

La fin tragique des Wisigoths Rois du Midi

En l’an 508, le mythique Chandelier à 7 Branches disparaissait devant Carcassonne, dans le pays de Caux.
Depuis plus de nouvelle. On le cherche.

Or, un jour, un enfant va incidemment rouvrir la piste sur les berges du Rébenty. Il trouve un fabuleux pendentif : un Aigle serti d’émaux. Ce bijou vieux de 1.500 ans va réveiller le passé prestigieux des Rois du Midi. Les Wisigoths, battus à Vouillé (Poitiers), vont fuir leur capitale Toulouse. Une belle civilisation naissante meurt sous le fer, le feu et le sang. Le plus grand empire de l’époque s’écroule. L’exode les pousse vers Rennes-le-Château… future paroisse de l’abbé Saunière. Rattrapé par la guerre, ils feront courageusement front à Ad Cedros : la « Vallée du Trésor ». Là, la légende, encore aujourd’hui, dit qu’entre l’Alric et l’Aricou se trouve la fortune de trois seigneurs. Pour qui la couronne d’Alaric II assassiné par Clovis ? Ses deux fils, Geisalic le général des armées et Amalaric un enfant de 7 ans s’opposent. Une princesse gothe aux yeux verts et un valeureux guerrier, unis par amour, vont se sacrifier pour sauver « Le Flambeau ». Des profondeurs de l’histoire grondent leurs aventures. Pour les revivre, un roman s’immergeant dans l’Histoire s’imposait.
L’auteur traite le sujet en deux périodes distinctes :

Aujourd’hui puis in situ au VIe siècle. La seconde partie répondant aux questions de la première.

Alors ce pendentif ? Quel est son secret ?
Un journaliste un peu trop curieux : Yves Nigue, est envoyé spécial sur les lieux.
Enquête et rebondissements terribles.

Sortie en librairie en mars.
On peut retenir le livre sur mon mail sur: mathieu.bernard.roger@orange.fr

LA VOIX DU NORD UN CLAIR DE LUNE

…à Limoux

Une idée comme ça qui en vaut une autre: et si, un jour, il venait à l’esprit d’un compositeur maubeugeois d’ajouter quelques mesures du fameux “Clair de Lune à Maubeuge” à l’air du Doudou ? Voila qui enrichirait les arpèges musicaux de nos dignes ambassadeurs.
Les Limouxins, reprenant en chœur l’hymne sambrien, s’attendaient à une reprise vigoureuse des « tout ça n’vaut pas » et un appui de leurs choralies par les musiciens… mais il n’en fut rien. Et pour cause, ceux-ci étaient de Binche.
Limoux, capitale de la fameuse Blanquette, appuyée aux premiers contreforts des Pyrénées, dans le département de l’Aude, nourrit des rapports privilégiés avec Maubeuge depuis des lustres. Cette solide amitié s’était d’ailleurs une nouvelle fois confirmée lors de l’ouragan. Jean-Paul Dupré, député maire s’était empressé d’envoyer un chèque annonçant une fraternité à hauteur de 5.000€ à son ami Rémi Pauvros.
Le rapprochement pour Binche connut d’autres raisons. Un jour Samuel Glotz, le conservateur du musée des masques de Binche, passa par Limoux. Ainsi naquit d’émouvantes épousailles entre les deux traditions carnavalesques qui, au long des années, habillèrent leurs relations de nombreux échanges.
Comme il y avait des Gilles à Maubeuge, tout était fait pour associer ce trio pour l’art de la fête, mais aussi les bienfaits de la culture.
AU PAYS DES FECCOS
Le personnage traditionnel de carnaval à Limoux, se nomme le meunier. Tous les ans de la mi-janvier à fin mars, une vingtaine de bandes se partagent les week-ends pour venir faire « Feccos », du nom de la danse lancinantes de ces buveurs de Lune ouvrant leurs bras et dressant leurs carabènes pour aller cueillir les étoiles. Ils sont suivis en chemin par les « Goudils » sortes d’impromptus indépendants, espèces de francs-tireurs, s’invitant au banquet des confettis.
Le week-end dernier, le thème était : les « Carnavals du Monde ». Une vingtaine de groupes du monde entier (Serbie, Suisse, Georgie, Brésil ) partageaient les pavés de la vieille ville. Et parmi eux, les Gilles de Maubeuge très attendus. Défilant dans une discipline bien ordonnée, Gilles et Paysans aux tenues impeccables, ont entrainé la foule dans leur sillage au son de leurs sabots et de leurs apertintaille.
Sous un soleil honorant la réputation du pays, trois sorties : matin, midi et soir, ont émaillé une prestation remarquable. L’après midi, auréolés de leurs chapeaux prestigieux, les Gilles se sont arrêtés pour un rondeau place de la République où eut lieu le traditionnel lancer d’oranges. Quant à la soirée, elle fut marquée par le brulage des bosses. Celui-ci mit, en point d’orgue, un final coloré à cette journée mémorable. Dans les nombreux cafés de la place de la République, regorgeant de monde, du coup la défaite du XV de France faillit, dans ce monde de rugby, passer inaperçue.
Jean-Paul Dupré, député-maire de Limoux a largement fait honneur à ses visiteurs. En particulier était présent, «ministre plénipotentiaire de notre ville », Dédé Baille Maubeugeois de cœur, Limouxin d’origine. Il avait rencontré sur place son ami Bernard Mathieu, ancien journaliste de La Frontière et de Nord Matin, aujourd’hui écrivain, toujours Maubeugeois de cœur. Dédé, ancien entraineur de Maubeuge, actuellement à Frameries, après avoir écrit un jeu de 1.500 questions sur le rugby à XV, vient de se lancer dans une formule similaire pour le Rugby à XIII. A noter qu’était présent Jean-Luc Fayt, échevin à la culture de Binche. Dédé l’amena dans la foulée à Carcassonne où se déroulait un match à XIII. Du coup, Jean-Luc Fayt a annoncé qu’avant l’été se déroulerait à Binche, un match de démonstration : Limoux-Carcassonne. Espérons que par la même occasion nos Limouxin feront un petit détour par Maubeuge. On ne sait jamais !
Et maintenant si vous passez par Limoux, le Carnaval éteindra ses fastes le dimanche 25 mars avec sa « Nuit de la Blanquette » . Le divin breuvage, nous a-t-on annoncé, coulera a flot dans les fontaines de la place de la République.

Une idée comme ça qui en vaut une autre: et si, un jour, il venait à l’esprit d’un compositeur maubeugeois j’ajouter quelques mesures du fameux “Clair de Lune à Maubeuge” à l’air du Doudou ? Voila qui enrichirait les arpèges musicaux de nos dignes ambassadeurs.Les Limouxins, reprenant en chœur l’hymne sambrien, s’attendaient à une reprise vigoureuse des « tout ça n’vaut pas » et un appui de leurs choralies par les musiciens… mais il n’en fut rien. Et pour cause, ceux-ci étaient de Binche.Limoux, capitale de la fameuse Blanquette, appuyée aux premiers contreforts des Pyrénées, dans le département de l’Aude, nourrit des rapports privilégiés avec Maubeuge depuis des lustres. Cette solide amitié s’était d’ailleurs une nouvelle fois confirmée lors de l’ouragan. Jean-Paul Dupré, député maire s’était empressé d’envoyer un chèque annonçant une fraternité à hauteur de 5.000€ à son ami Rémi Pauvros.Le rapprochement pour Binche connut d’autres raisons. Un jour Samuel Glotz, le conservateur du musée des masques de Binche, passa par Limoux. Ainsi naquit d’émouvantes épousailles entre les deux traditions carnavalesques qui, au long des années, habillèrent leurs relations de nombreux échanges.Comme il y avait des Gilles à Maubeuge, tout était fait pour associer ce trio pour l’art de la fête, mais aussi les bienfaits de la culture.AU PAYS DES FECCOSLe personnage traditionnel de carnaval à Limoux, se nomme le meunier. Tous les ans de la mi-janvier à fin mars, une vingtaine de bandes se partagent les week-ends pour venir faire « Feccos », du nom de la danse lancinantes de ces buveurs de Lune ouvrant leurs bras et dressant leurs carabènes pour aller cueillir les étoiles. Ils sont suivis en chemin par les « Goudils » sortes d’impromptus indépendants, espèces de francs-tireurs, s’invitant au banquet des confettis.Le week-end dernier, le thème était : les « Carnavals du Monde ». Une vingtaine de groupes du monde entier (Serbie, Suisse, Georgie, Brésil ) partageaient les pavés de la vieille ville. Et parmi eux, les Gilles de Maubeuge très attendus. Défilant dans une discipline bien ordonnée, Gilles et Paysans aux tenues impeccables, ont entrainé la foule dans leur sillage au son de leurs sabots et de leurs apertintaille.Sous un soleil honorant la réputation du pays, trois sorties : matin, midi et soir, ont émaillé une prestation remarquable. L’après midi, auréolés de leurs chapeaux prestigieux, les Gilles se sont arrêtés pour un rondeau place de la République où eut lieu le traditionnel lancer d’oranges. Quant à la soirée, elle fut marquée par le brulage des bosses. Celui-ci mit, en point d’orgue, un final coloré à cette journée mémorable. Dans les nombreux cafés de la place de la République, regorgeant de monde, du coup la défaite du XV de France faillit, dans ce monde de rugby, passer inaperçue.Jean-Paul Dupré, député-maire de Limoux a largement fait honneur à ses visiteurs. En particulier était présent, «ministre plénipotentiaire de notre ville », Dédé Baille Maubeugeois de cœur, Limouxin d’origine. Il avait rencontré sur place son ami Bernard Mathieu, ancien journaliste de La Frontière et de Nord Matin, aujourd’hui écrivain, toujours Maubeugeois de cœur. Dédé, ancien entraineur de Maubeuge, actuellement à Frameries, après avoir écrit un jeu de 1.500 questions sur le rugby à XV, vient de se lancer dans une formule similaire pour le Rugby à XIII. A noter qu’était présent Jean-Luc Fayt, échevin à la culture de Binche. Dédé l’amena dans la foulée à Carcassonne où se déroulait un match à XIII. Du coup, Jean-Luc Fayt a annoncé qu’avant l’été se déroulerait à Binche, un match de démonstration : Limoux-Carcassonne. Espérons que par la même occasion nos Limouxin feront un petit détour par Maubeuge. On ne sait jamais !Et maintenant si vous passez par Limoux, le Carnaval éteindra ses fastes le dimanche 25 mars avec sa « Nuit de la Blanquette » . Le divin breuvage, nous a-t-on annoncé, coulera a flot dans les fontaines de la place de la République.

Chavernac,Mister Allobox TV

Ecrit dans Actualité à 11:27 par Bernard-Roger MATHIEU

Pascal CHAVERNACCe type, c’est “bonne nuit les petits vieux”.
Avec son sourire et sa bonne tête de visiteur, c’est le magicien de la télé.
Voila, vous avez un écran dans le salon.

Vous l’allumez. C’est Zorro.
Ou “Plus belle la vie”, l’émission préférée du 3e âge.
Tout à coup: badaboum, la tronche de Pascal se promène dans les rues de Marseille, c’est sergent Garcia (la barbe en moins) qui vient dire bonjour à pépé et mémé.
Non, vous n’êtes pas entrain de converser avec votre bocal à poissons rouges.
Pascal Chavernac et ses ingénieurs carcassonnais ont rendu votre écran plat en matériel intelligent. Il y a de quoi en faire tout un plat.
( voir démonstration sur: www.sigma-mediterranee.fr)
Entre deux avions, un TGV et trois coup de téléphone l’initié aux nouvelles technologies détournées vole de rendez-vous en rendez-vous.
J’avais bien vu à l’époque qu’on avait à faire à un drôle de lascar.
Un après midi, fin des années 80, j’avais dit à Jacques Arino, mon chef à Carcassonne à LA DEPECHE DU MIDI:
” Un jour nous aurons des machines à écrire reliées entr’elles et on appellera cela l’informatique”.
Je n’étais pas plus intelligent qu’un autre.
Mon fils Nicolas élève à « Varsovie », à qui je venais d’acheter un TO7 pour faire mumuse, m’avait soufflé dans l’oreille:
“Papa joue pas au largué.Branche toi. J’y a urgence”.
Il apprenait alors le “langage Pascal” (il y avait même des billets Pascal, mais rien à voir).
Nos jeunes se réunissaient dans un taudis où ils avaient créé “Futura Project” avec une bande d’allumés aux pixels.
Bref, à la maison entre les composants électroniques (il y en a encore dans le garage) et autres programmateurs d’eprom, nos jeunes, le fer à souder à la main, prenaient contact avec un avenir qui allait nous tomber dessus.
Journaliste, je me mis en quête d’un pro sur la place.
Bientôt je me retrouvais devant un grand gaillard, l’oeil pétillant… et lui pas du tout allumé.
Pascal Chavernac, dans un tout petit bureau, annoncé par une plaque modeste à la grille,
bidouillait.
Et c’est ainsi que pour la première fois, un journaliste venait s’intéresser à ses travaux.
Un article dans le journal, et surtout dans la DEPÊCHE, cela force le respect vis à vis des voisins.
Pascal se retrouvait chef d’entreprise porteur d’un espoir pour la société.
Et cela se passait à carcasoooooone vous vous rendez-compte ?
Pascal a gardé ce visage de gamin émerveillé.
Ce n’est pas pour rien s’il a ciblé les vieux en premier. Cadeau !
“Présence Verte” enfoncée.
Désuet !
Le PASCAL NOUVEAU EST ARRIVÉ.