27.04.09

Une épreuve d’humilité

Ecrit dans Actualité à 13:50 par Bernard-Roger MATHIEU

Ecrire un livre c’est une épreuve d’humilité.

Une école ? Pour qu’il y ait école, il faut des épreuves.

Ecrire un livre ne relève pas d’une mince affaire.

Cela demande du temps. Des recherches. Un esprit de synthèse ( surtout quand on ne l’a pas forcément).

Quand  après plusieurs mois de travail aiguillonné certes par un plaisir intense l’ouvrage est achevé on ne sait jamais s’il est vraiment bon pour être lancé dans la grande aventure.

Mais, dans le fond, écrire un livre ce n’est rien face à la montagne qu’il faut encore gravir pour le vendre.

Vendre c’est un métier.

Vendre cela veut dire séduire des lecteurs. Le lecteur ne va pas au livre, c’est le livre qui va au lecteur. Et ce n’est pas du tout pareil.

Un jour je me trouvais dans un salon.

A côté de moi un jeune auteur présentant son premier roman. Se pointent deux personnes. La discussion s’engage. Sympathique. Le jeune répond aux questions. Les lecteurs potentiels semblent intéressés. On sent qu’il manque peu de chose pour qu’ils sortent le carnet de chèque. Le jeune frétille. Il va vendre son premier livre. Maman pas loin, fière de son fils suit avec attention les négociations. Puis, tout à coup la dame dit à son mari. «  On va faire un tour et on viendra le chercher tout à l’heure ». Un sourire au jeune et le couple disparaît.

Je me tourne vers l’écrivain en herbe : «  Tu les as manqués. Ils ne reviendront pas. Puis avec une pointe de colère. «  Il te faut être plus performant, nom de dieu ! Vendre c’est une lutte. N’oublie jamais que tu leur vends une boite et ils ne savent pas ce qu’il y a dedans. Quand tu as ferré, il te faut sortir l’épuisette. Un livre ça se gagne ».

L’écrivain est un être seul dans ce cas précis. Chaque vente est un combat. D’où la légitime reconnaissance envers l’acheteur qui sort ses sous. C’est un copain. Un être estimable. Le type qui achète un de mes livre est forcément un chic type (ou une femme, les femmes achètent plus de livres de que les hommes).

Revenons à nos moutons.

L’auteur est un amateur. Quand il met un livre sur le marché il se frotte à des professionnels dont l’objectif premier est de faire de l’argent. L’éditeur, le libraire, l’organisateur du salon …

L’éditeur ne reverse que 8% à l’auteur. Petit calcul : 8% d’un livre vendu 17,90€ (Alfred le Wisigoth) représente 1,43€.

On ne fait pas fortune en vendant des livres.

Alors pourquoi le fait-on ?

En premier lieu pour le plaisir de construire une œuvre.

Donner du plaisir à l’autre. Faire un don de soi. Le faire rire, pleurer etc. Lui donner de l’amour que l’on fabrique.

Pour aussi se donner peut-être une raison d’exister à travers l’art.

C’est toute la définition de l’art au sens noble du terme.

Le merci de l’autre incite à toujours tenter de mieux faire. Il est dynamique.

Revenons à l’humilité. Créer, c’est s’exposer.

Une humilité dévoyée conduit au repli sur soi. L’inhibition. Or, comme on vient de le voir il est indispensable de croire en soi pour monter à l’assaut du lectorat.

A se sortir les tripes, on prend des coups. Le moindre mot peut flageller l’ego légitime celui-là. L’artiste est fragile. Qu’il fasse de la musique, de la peinture, de la danse… ou de la littérature l’artiste s’expose à une certaine forme d’exhibitionniste sous le bon jour.

Contradiction ? D’un côté l’humilité doit cohabiter avec l’égo.

Donc rester les pieds sur terre demeure un objectif à ne pas perdre des yeux.

Deux livres vont sortir fin mai.

-         le tome deux d’Alfred le Wisigoth où j’ai le plaisir de mettre en valeur Pierre Bonnafous dont les talents de dessinateur feront de lui un Grand. J’espère qu’il volera bientôt de ses propres ailes… sur les traces de son frère Philippe extraordinaire dans le domaine de la musique.

Le SECRET DU MANET RÉVÉLÉ mon premier polard.

Un Roman policier pour un quart honorant l’humour, un quart

de fleur d’érotisme, un quart de poésie et le dernier

quart sur le trafic d’œuvres d’art chez les Impressionnistes. On y croise des faussaires…..

(histoire basée sur l’affaire Drewe en Angleterre

      Révélée par le Journal des Art)

20.04.09

Dimanche 26 avril à Limoux

Ecrit dans Actualité à 16:57 par Bernard-Roger MATHIEU

Feu d'artificesbonjour,
je suis dimanche prochain à Limoux au salon du Livre, salle de l’Elysée de 9 à 18 heures.
Avec:
1°) Alfred le Wisigoth
(tome1), humour rurbain et convaincu 17,90€
2°) Les Essayistes: donne le goût de la lecture à vos enfants. Les Essayistes c’est des histoires sur les chevaux écrites sous ma direction par des 53 enfants pendant neuf mois, avec la fraicheur de regards d’enfants préservé. Des textes d’ados pour des ados qui se reconnaitront dans ces écrits. Attention il reste peu d’exemplaires et il n’y aura pas de second tirage.17,90€
3°) Aïcha, Alexis, Agathe, Tatiana… Ecrivains à 12 ans est un livre pour donner le gout d’écrire. Le livre raconte l’aventure des Essayistes et dévoile toutes les ficelles employées pour arriver à sortir le livre “invité” en 2007 au salon du livre à Paris.On y trouve une méthode, des ficelles de journalistes etc. 13,90 €Réservation de principe sans envoi d’argent.
Sortie en mai 2009: Le Retour du Barbare, le tome 2 d’Alfred le Wisigoth ( voire pièce jointe)
Et … sous le manteau (interdit aux âmes sensibles, aux curés, aux bonnes-sœurs, aux mineurs nyctalopes, aux pisse-froid etc.

http://www.lindependant.com/articles/2009/05/14/20090514-Castelnaudary-Alfred-le-Wisigoth-revient-en-terre-chaurienne-L-39-auteur-Bernard-Roger-Mathieu-presentera-samedi-a-la-galerie-Paul-Sibra-son-dernier-ouvrage-Le-retour-du-Barbare-illustre-par-Pierre-Bonnafous.php5
Le Secret du Manet révélé, est un polar avec un quart d’humour, un quart d’érotisme, un quart de poésie et le dernier quart sur le trafic d’œuvres d’art et les faussaires ( basé sur l’affaire Drewe en Angleterre révélée par le Journal des Arts).
Ceux qui aimablement renvoient ce mail seront prévenus de la date de sortie de du prix de l’ouvrage quand l’éditeur l’aura fixé…
Des signatures sont programmées en juin prochain.
Là-dessus personne n’est obligé d’acheter mes livres.
Ceci n’est pas une pression, ni une obligation morale d’achat.
Le plaisir ne s’achète pas.
sympathieBernard-roger MATHIEU
http://mathieubernardroger.free.fr
Le Manuscrit - ALFRED LE WISIGOTH http://www.manuscrit.com/book.aspx?id=4510
Faites lui crédit !
Alfred le Wisigoth n’est ni capitaliste, ni en faillite.
Investissez dans ses ouvrages.
Ouvrez un compte bonne humeur
On trouve les livres (Alfred le Wisigoth, les Essayistes, Ecrivains à 12ans) en permanence:
- Carcassonne Chez Leclerc (tel: 04 68 10 20 40 ), librairie galerie marchante et librairie Breithaupt, rue Courtejaire (tel: 04.68.47.12.24
- Maubeuge: librairie Vauban tel 03 27 64 64 19
- Avallon: librairie Voillot rue A. Briand 03 86 34 10 50
Et dans toutes les librairies sur commandes
Ou en ligne :
http://google.fr/ vous écrivez Mathieu+Alfred le Wisigoth.
www.chapitre.com
www.manuscrit.com.
Conférence: comme vous voulez, quand vous voulez !

Marc Nord

Ecrit dans Le coin des copains ces coquins à 10:07 par Bernard-Roger MATHIEU

Dans ” Le coin des copains et des copains” nous saluons aujourd’hui l’entrée d’un nouveau, sacré cette semaine: ” Wisigoth d’honneur”.Nous avons cité: Marc VARLET.

Chacun visitera son site avec l’intérêt qui lui est dû. (Voir dans les liens colonne de droite)
Marc a buriné dans le marbre de la mémoire une histoire  pathétique: La révolte du docteur Kuntz. Qui a eu des «  malgré-nous » dans sa famille a vécu ce genre de drame.

Le livre de Marc est à déguster du bout du cœur. Livre sensible. Livre écrit comme savaient écrire les journalistes de l’époque de Nord Matin.

Voici ce qui en est dit sur le site de Marc.

“Gustave était aux anges. Il n’aperçut pas au fond de la salle, le visage de Michel qui voyait la perspective de s’échapper avec Gustave s’éloigner de plus en plus! Il avait la tête des mauvais jours et ce n’étaient pas les paroles du blessé dont il s’occupait qui furent de nature à le rassurer :

- Jolie demoiselle n’est ce pas ? On dirait que notre médecin est entiché”.

Parvenu à Liévin, Gustave Kuntz, né à Strasbourg en 1885, étudiant en médecine, est mobilisé comme médecin assistant dans l’armée allemande en Aout 1914, parmi des milliers de jeunes alsaciens, contraints de se battre contre leurs frères français.

Les faits de guerre authentiques, histoires des dommes, forment l’ossature de ce roman à suspense et rebondissements. Il nous fait voyager dans un récit d’événements tragiques qui ont marqué une région. Mais l’amour et l’amitié finiront par triompher de la haine et de la violence.

Editions Nord Avril, 388 rue de la Lombarderie, 59870 BOUVIGNIES, prix 15 euros.

En mai sortira aux Editions Nord Avril (ou ailleurs) l’histoire des ponts : Par ponts et part vaux.

Welcome chez les Chtimis

Ecrit dans Humeur à 9:05 par Bernard-Roger MATHIEU

Le cousin Alfred revient du cinéma. Il est allé voir Welcome.

Ça vous dit quelque chose Welcome ?

Non ce n’est pas le nom du bistrot de Villefranche sur Mer.

C’est le nom du film de Philippe Lioret avec Vincent Lindon.

Welcome c’est l’histoire de Sangatte. Si vous ne savez pas où se trouve Sangatte, c’est simple vous regardez sur Mapy et hop vous voilà dans le Pas de Calais, c’est à 51,18 km de Bergues. Sauf que Bergues c’est dans le Nord. Il y a une petite frontière à franchir (sacrées frontières) mais d’un côté comme de l’autre nous sommes dans le pays flamand. Chez les Chti ! Sympa et tout !

Bergue-Sangatte même combat ?

Le cousin Alfred en regardant Welcome a pensé à Bienvenue chez les Chti. D’ailleurs il y a la similitude du titre. Même thématique : l’accueil. Similitude géographie. Ici on accueille un migrant venu du Midi, là on accueille des Pakistanais.

Des hommes quoi !

Mais, la ressemblance s’arrête là où commence la «  délit de gueule ». Si le mec du Midi prend les Chti pour des demeurés passablement alcoolos, les mecs du Nord prennent les « nageurs » kurdes pour des clandestins qui font taches dans le paysage. Le policier «  qui-fait-son-boulot » qui, dans le film arrête Lindon pour «collusion avec l’ennemi » (comme on a compris)  est-il ce chtimi français-moyen que l’on admire ? Il a plutôt le look des CRS de Caterpilar qui eux aussi font leur boulot sans conscience aurait dit Rabelais (ont-ils lu Rabelais c’est dans Pantagruel, chapitre VIII).

Kurdes, irakiens, Afghans, Iraniens, Soudanais depuis la fermeture du centre de transit, errent comme des âmes en peine pourchassés par la police française.

Pourquoi ? s’est demandé le cousin Alfred, POURQUOI n’ouvrirait-on pas un centre de transit (*) chauffé avec des sanitaires, un restaurant digne de ce nom avec des toilettes, des pressing pour laver le linge, des douches pour laver les hommes, des bibliothèque ( presse, tabac, journaux) pour laver la tête. Ce serait bon pour le moral. Et bon pour la dignité de la France pays d’accueil. Oui mais voilà ces Kurdes, Irakiens, Afghans, Iraniens, Soudanais n’ont que chti à faire de la France. Eux, leur idée fixe c’est d’aller en Angleterre car là-bas il y a des clubs de foot extraordinaires. Dans le film de Lioret, le jeune footballeur joué par l’acteur Firat Ayverdi, n’a nullement l’intention d’aller exercer ses talents à l’Union Sportive Boulogne Coté d’Opale ni à l’ Union Sportive du Littoral de Dunkerque.

Autre idée : on remplit des bateaux et on va les déposer sur les côtes du coté du comté du Kent. Et surtout, on leur donne de quoi tenir quelques jours (argent, nourriture, couverture de survie…) afin que les sujets de sa précieuse majeste ne nous les renvoient pas illico presto par la navette.

Troisième solution : les chtimi les accueillent comme ils savent si bien le faire (savoir-faire acquis pendant plusieurs générations avec les  Italiens, Polonais, Nords Africains…).

Pour qu’ils dépensent leur argent dans les bistrot et commerces locaux, on leur donne du boulot, les logent, envoient leur enfant à l’école de la République, on les inscrit dans les clubs sportifs etc. Dans une génération tout ça sera fondu dans la population et ils iront lancer des saurets au carnaval de Dunkerque.

 

(*) où trouver l’argent ? c’est simple on arrête les sommes folles dépensées pour compliquer la vie de ces pauvres malheureux.

BOITE A IDEES :Création d’un Ministère Colluche/abbé Pierre

Pendant qu’on y est, ne pourrait-t-on lancer un Ministère Colluche/abbé Pierre et de l’identité nationale ? http://www.immigration.gouv.fr/ A force de laisser les Restos du Cœur vivre de rapines bénévoles et de profiter du « bon-cœur M’sieurs-Dames » on les intégrerait dans un système digne, structuré, géré, organisé. Cela permettrait aussi d’offrir des douches dignes et des toilettes dignes aux SDF de passage. Ainsi que des services de santé sur place. Pour eux et pour leurs animaux de compagnie. A propos, ils faudrait aussi des chambres pour l’accueil des couples. Souvent dans les accueils on ne prend que l’homme, la femme reste dehors. Les z’humains c’est pas des chiens ! Donc des chambres dignes ! Comme ils vont être de plus en plus nombreux dans les toutes prochaines années, on a intérêt à y penser maintenant de risque d’être rapidement débordé.

On prend l’argent des Ministères Eric Besson, Valérie Létard, Julien Damon, Fadela AMARA ,  Martin HIRSCH mal utilisé et on le met dans ce nouveau ministère de la dignité. Du coup on économise même des Ministres !

Ce nouveau ministère gérerait tous les déficits accumulés depuis deux ou trois an en matière de logement, d’accueil, dispensaires etc.

Si on ne fait pas ce geste d’humanité basic, les bourgeois n’auront qu’à bien se tenir et il faudra instaurer le soir des couvre-feux avec des policiers dans toutes les rues.

Après tout, ce qu’en dit Alfred, c’est que des conneries….

 

17.04.09

La Séquestation des patrons

Ecrit dans Humeur à 22:53 par Bernard-Roger MATHIEU

Pourquoi travaille-t-on ?

Réponse : par philosophie, enrichissement personnel, pour le plaisir… parce qu’on n’a rien d’autre à foutre ?

Sérieusement : on travaille pour gagner tout simplement de l’argent.

Car sans argent on ne peut pas vivre dans la dignité. Exemple : les Rmiste, les chômeurs, les SDF, les clandestins etc.

Gagner suffisamment  d’argent à un âge normal, c’est se lancer dans la vie comme on dit.

Acheter une voiture qui permet d’aller travailler, construire sa maison, avoir les capacités de faire vivre une famille, donc avoir «  le luxe » d’en fonder une. Nourrir ses enfants, leur donner de l’éducation…

Tout ce que l’on écrit là c’est étrangement basic.

On ne parle pas des vacances, de l’accès aux loisirs… non on parle de l’élémentaire Dr Watson.

Or, aujourd’hui les patrons disposent d’un véritable droit de vie et de mort.

Le droit de licencier c’est un droit toujours vivace du Moyen-Âge de jeter à la rue une femme, un homme, des enfants… Nous sommes tous des Klinex !

Et le capitalisme n’est guère rassurant, même pas pour les petits patrons qui, pris dans la tourmente, ont besoin d’un tuba pour résister aux tsunamis économiques. Dans fond, les premières cibles du libéralisme, ce sont eux ! Sur eux reposent les plus douloureuses responsabilités.

Dans cette société injuste, restent les grandes sociétés. Les mammouths.

Celles qui font du bénef et licencient quand même.

Celles qui délocalisent pour faire encore plus d’argent.

Celles qui utilisent les gens non pas pour les faire vivre, mais pour faire vivre leur capital.

Alors tombent les verdicts des «  tribunaux ouvriers ».

Dans l’étonnement général ?

Ces patrons subissent de plus en plus d’incarcérations. Aux abois les victimes se révoltent.

« C’est interdit » clame Sarkozy effaré de ces débordements. « Interdit car nous sommes dans un état de droit » ( de droite ?).

Comme d’habitude il vient de faire usage d’un regard parcellaire. Celui qui fait semblant de ne pas comprendre.

Oui mais voilà le Droit n’est pas à sens unique.

Il ne peut y avoir de Droit sans Devoir.

D’un côté il ne peut y avoir ceux qui ont le droit de licencier et de l’autre, ceux qui n’auraient pas le droit d’être mécontent.

On pourrait développer gravement et longtemps les arguments.

Aussi, nous renverrons à la lecture d’un ouvrage. Celui d’André Pierrard La belle vie au pays noir paru en 1979 aux éditions: G.Blondel et J.Planquart/1979  http://arsyliv.wifeo.com/boutique-article-11026.html. ce livre prémonitoire parle de la séquestration d’un patron. Surprenant !

Que va-t-il se passer ? Les « malheureux » qui nous gouvernent n’ont pas la pointure pour affronter les événements. Où ils partiront ; ou ils s’entêteront. Mais de toute façon, ils n’auront pour seule solution, en regard de leur imagination et de leurs capacités à l’adaptation aux circonstances, qu’à pratiquer sans cesse plus de répression.

Sans être particulièrement pessimiste, on ne prend pas le bon chemin.

08.04.09

Chinoiserie…

Ecrit dans Actualité à 12:59 par Bernard-Roger MATHIEU

Style débridéAvez-vous déjà joué au ” portrait chinois” ? C’est presque aussi bien que la brouette thaïlandaise.
Voici une proposition envoyée par un lecteur.

SVP vous pouvez répondre directement sur le blog ou m’adresser un mèl

sur mathieu.bernard.roger@orange.fr

Si le cousin Alfred était…

  1. Si le cousin Alfred était un animal ? ce serait….
  2. Si le cousin Alfred était une plante ?
  3. Si le cousin était une boisson ?
  4. Si le cousin Wisigoth était une ville ?
  5. Si le cousin Alfred était un film ?
  6. Si le cousin Alfred était une chanson ?
  7. Enfin si notre Alfred était un moyen de transport ?

Merci pour votre réponse, bonne journée.

Allez voir les nouveaux dessins de Pierre Bonnafous, ils sont sur mon album

(cliquez sur l’appareil photo en bas à droite et aller dans la rubrique Alfred le Wisigoth).

Ces dessins figureront sur ” Le Retour du Barbare” le tome 2 d’Alfred le Wisigoth qui sortira en librairie et en ligne en juin prochain. J’effectue les dernières corrections.

Note: merci à tous ceux qui déjà ont réservé le livre.

N’envoyez surtout pas d’argent .

Il suffit de donner votre nom et votre adresse, vous serez, en qualité d’ami privilégié, informé lors de la sortie de l’ouvrage et ferez ( sur vous le désirez encore) partie de la première livraison.

C’est à dire avant l’été afin que vous puissiez l’avoir pour le lire tranquillement à l’ombre sous les cocotiers.

03.04.09

La pensée du jour

Ecrit dans Actualité à 18:14 par Bernard-Roger MATHIEU

Alfred a trouvé un nouveau Wisigoth.

Il s’agit d’Anatole France, auteur peu lu de nos jours… et ça manque à la culture générale.

Ainsi, nos dirigeants réunis à Londres et bien plus préoccupés du capitaliste international et de sa sauvegarde en jetant leurs chaloupes à la mer que des soucis du peuple,  auraient pu s’en inspirer.

Voici donc notre pensée du jour. Vous pouvez donner votre avis.

Anatole France a écrit en 1894 :

« La loi, dans un grand souci d’égalité, interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain. »