23.10.08
Ecrit dans Actualité à 18:46 par Bernard-Roger MATHIEU
SALON DU LIVRE
qui se déroulera le samedi 15 novembre 2008 au multiplexe CAPCINEMA de Carcassonne
Je donne des tuyaux aux enfants afin qu’ils écrivent mieux.
L’expérience avec les Essayistes leur a mis une fusée entre les jambes (lire plus bas et regarder la vidéo: émission de France 3 Toulouse et Montpellier).
Les “Hussards de la République”, ces fameux instits de la IIIe République disaient: un peuple est grand quand il sait lire (il y a une chanson là-dessus). Aujourd’hui lire c’est bien, mais savoir écrire et s’exprimer avec la plume donne aux citoyens un argument supplémentaire pour que chacun puisse faire sa place dans la société. Et s’exprimer, c’est aussi dire ce que l’on a sur le cœur.
Le livre
Aïcha, Alexis, Agathe, Tatiana… écrivains à douze ans.
Et pourquoi pas vous ?
raconte comment a pu être possible l’aventure des Essayistes qui a duré 9 mois.
Par la même occasion sont livrés dans ces pages tous les petits secrets de journaliste permettant d’écrire correctement.
Le livre ne coute que 13,90€ et sera disponible (Un conseil: le nombre de livres étant limité, il serait prudent de réserver son exemplaire) :
- soit par mail: mathieu.bernard.roger@orange.fr
- soit par téléphone: 04 68 76 09 46 (un répondeur est disponible en cas d’absence).
Par ailleurs au cours de ce salon seront également disponibles :
- Alfred le Wisigoth
- Les Essayistes
Qu’on se le dise……….
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19.10.08
Ecrit dans Actualité à 11:24 par Bernard-Roger MATHIEU
http://www.renne-le-chateau.com/informat/informat.html
est certainement le site référencé le meilleur du genre sur le célèbre village irréductible et audois.
Alfred n’a pas pu crapahuter dans la nuit du 12 au 13 octobre 2008 mais il se promet d’aller voir ses collègues Wisigoths à la première occasion.
Alfred… t’as le bonjour d’Asmodée, alias Jean-Claude.
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16.10.08
Ecrit dans Actualité à 8:00 par NM
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15.10.08
Ecrit dans Humeur à 9:48 par Bernard-Roger MATHIEU
Collioure.
Ce jour-là la mer pleurait une brume par 23° de température.
Une mer à sang chaud se battait les flancs de toute forme de soucis dans l’odeur des poivrons aux filets d’anchois et d’une peinture pas encore sèche de Derain.
Torse de roche battu en vagues régulières. Tempo de Ringo Star sur peau d’oursins.
Ici la patrie post mortem de Machado passe le temps en boucle.
Ce soir-là une mer se murmurait dans un fumato gris caviar beluga double-zéro .
Un jour moite opaque comme un vieux Banyul.
Un jour entre chien et loup.
Un jour faisant oublier ce poème de Machado :
Esto dias azules y este sol de la infancia.
Collioure dort dans la paume d’une colline venant baigner son calme dans une baie frangée d’ailleurs. T’as le bonjour de tous les Albères. Sereine, reine à la traîne couvrant les pieds de la vallée du Vallespir, la rade, tel Cythère, ancre un temps Aphrodite d’éternelle beauté. A deux pas de là, à Vendres, Mérimée aurait parlé de Vénus.
Vaisseaux de toiles, ici Magritte, Braque, Picasso, Foujita, Perrot, Willy Mucha, Augustin Hanicotte et des quantités d’autres s’arrêtèrent mouillant leurs pinceaux dans des pots d’insolente indolence.
Et c’est resté. Peintures indélébiles. Encres de Chine. Emaux et chaleurs.
C’est comme une culture.
L’ailleurs se traduit ainsi. Les pages d’histoire ne se referment pas les unes sur les autres. Elles s’accumulent.
Comme les crus de vin doux dorant des bouteilles additionnant les millésimes.
Comme tout ce qui a besoin du passé pour aller plus loin.
On n’efface pas. On ajoute.
Et un jour d’hiver vint s’ajouter Machado.
Poussé par le vent mauvais de l’Espagne du garrot y allant franco.
Rejeté d’une partie perdue, sa république mortellement blessé, Machado s’échouait coté Francia.
Comme un avion venant se scratcher en bout de piste.
Bougies consumant ses dernières lumières en pays libre, le poète mourrait les mots à la main.
Connaissait-il Collioure ? Il échappait de justesse aux fers du franquisme. Epuisé…
Trois pas suffirent hors d’Espagne
Que le ciel pour lui se fît lourd
Il s’assit dans cette campagne
Et ferma les yeux pour toujours.
Ce texte d’Aragon chanté par Jean Ferrat raconte la fin tragique de ce républicain valeureux. Ce Ché espagnol combattait le poème face aux tanks.
Le cœur blindé il écrivait pour la mémoire des morts.
Il désirait en ce 2 février 39 rejoindre son frère à Paris.
…. 70 ans dans quatre mois. C’était hier.
Ses forces ne lui permettront pas d’accéder à ce dernier vœu.
Il va mourir le 22 février dans l’anonymat sous les balles du froid, du rejet, de sa mise à l’index. La clairvoyance d’un employé des chemins de fer, M.Bails alertera ses amis de l’identité du mort. C’est ainsi que dans une grande dignité toute la population de Collioure se retrouva autour du poète pour lui rendre un dernier hommage.
Collioure dressait le poing de sa reconnaissance face à l’ingrate Espagne.
La rue de la République grimpe. Si elle ne monte pas au paradis, elle escalade un raidillon d’enfer. Un mur. Des toits de tombes passant un œil par dessus tournent le dos à la vie.
Tous peut-être sauf un pour qui le combat continue.
- Antonio Machado, s’il vous plait ?
Un ouvrier repeint une grille. Derrière, enfermés pour l’éternité, il ne reste que des noms gravés dans de la pierre.
L’homme tend son pinceau.
- C’est dans l’allée, à 10m. Vous ne pouvez pas le manquer.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Machado
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10.10.08
Ecrit dans Actualité à 17:25 par NM
La vidéo des “Essayistes” :
Un reportage de France 3.
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Ecrit dans Interview à 17:23 par Bernard-Roger MATHIEU
Aïcha, Alexis, Agathe, Tatiana… écrivains à 12 ans est un petit livre sympathique qui raconte l’histoire du livre “Les essayistes”.
En même temps, sur ce fond de lecture, l’auteur indique sa méthode.
Celle qui a été employée pendant les neuf mois que dura l’expérience au collège des Fontanilles à Castelnaudary.
Si vous avez quelque chose à raconter, c’est le livre qu’il vous faut.
Si vous connaissez quelqu’un que vous aimez bien et dont vous voudriez avoir des souvenirs écrits, achetez lui le livre. C’est un excellent cadeau à 13,901€
Un départ à la retraite: arrivez avec le livre sous le bras.
Ecrivez, écrivez… il en restera toujours quelque chose.
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09.10.08
Ecrit dans Actualité à 11:24 par Bernard-Roger MATHIEU
Depuis une douzaine d’années un groupe de cadres puéricultrices du CHRU de Montpellier organise des colloques dont, bien entendu, l’enfant est le centre d’intérêt.
Ce vendredi 28 novembre 2008 le regard sera porté sur «l’Enfant et l’écrit» avec en sous-titre : … une reconnaissance, un lien construit.
Rendez-vous amphi Lapeyronie au CHRU.
La journée se décomposera en quatre tables rondes.
Je suis invité à animer celle en début d’après midi à 14heures.
En voici le détail :
14h00 : Thème : “Quand l’Enfant écrit”*:
Intervention : Bernard Roger Mathieu, journaliste, écrivain dont le dernier ouvrage s’intitule: « Aicha, Alexis, Agathe, Tatiana…écrivains à douze-ans » (*)
Note: lire autres rubriques à ce sujet plus bas et notamment tout ce qui a trait au salon du Livre Porte de Versailles à Paris + album photos)
Avec le concours de Zehira Hofmann, Professeur de français, Collège les Fontanilles, Castelnaudary
Table Ronde : Chantal Enocq, Animatrice, Association “lache les mots”, Montpellier
Jerc, animateur, formateur Graff, Clermont l’Hérault
XXXX, Cité de la création, Lyon Ludothèque CHRU Montpellier
Les autres tables rondes accueilleront les intervenants :
Dominique Ottavi, philosophe Paris,
Michel Piquemal écrivain
et Françoise Montalti, psychologue à la maison d’arrêt de Villeneuve les Maguelone.
Si le bonheur est dans le prêt, nous accorderons beaucoup de crédit à la transmission. La transmission c’est offrir à l’autre, et ici à l’enfant en premier lieu, ce dont nous sommes dépositaires. Si nous avons des connaissances, nous les devons toujours de quelqu’un qui, à un moment donné, a pris le temps de nous les transmettre. Il en va de la culture, des traditions, de tout ce qui bâtit la vie.
Donner des pierres à l’enfant, c’est lui apprendre qui se doit de trouver le ciment qui les assemblera.
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08.10.08
Ecrit dans Actualité à 18:22 par Bernard-Roger MATHIEU
http://mathieubernardroger.free.fr/phpwebgallery/picture.php?/876/category/26
Samedi 15 novembre
Jean-Marc SAVARY
Président du Centre européen des Mythes et Légendes organise son salon du livre.
C’est le grand retour. Après l’hôtel de la Cité et le mémorable salon de l’ésotérisme, voici quelques années, Jean-Marc a décidé de se payer une toile. Il s’installe au Multiplex au Pont Rouge.
Alfred le Wisigoth sera sur le stand de la librairie Breiphtaut.
Seront signés: Alfred le Wisigoth (toujours en pleine bourre), Les Essayistes ( l’ouvrage écrit avec 53 enfants ) et le petit dernier:
Aïcha, Alexis, Agathe, Tatiana… écrivains à 12 ans … Et pourquoi pas vous ?
( l’ouvrage qui vous tiendra la plume quand vous aurez décidé d’écrire vos mémoires).
Si vous voulez mieux écrire vos lettres d’amour
Si vous voulez mieux vous exprimer avec votre percepteur.
Si vous écrivez des articles pour la presse
Si vous rédigez un CV ( surtout la lettre de motivation )
Si vous désirez en résumé écrire pour être lu, ce petit livre donnera des ailes à votre style.
Une fois que vous l’aurez lu, tout vous semblera plus simple.
Certes, vous ne serez peut-être jamais ni Verlaine, ni Victor Hugo, ni Machado mais en vous lisant vous donnerez de vous l’image que vous désirez donner.
Ce livre n’apprend pas l’orthographe, il donne des conseils simples pour mieux écrire ; il raconte en même temps comment cela s’est déroulé avec des enfants de 12 ans qui ont tout compris en écrivant les ” Essayistes” ouvrage qui les a porté jusqu’au salon du Livre à Paris.
Il ne coûte de 13,90 €.
C’est un livre qui peut parfaitement s’offrir en cadeau à un jeune, un retraite qui désirerait écrire ses mémoires, ou votre père.
Ecrivez, écrivez… il en restera toujours quelque chose.
En avant première et avant d’en dire plus on peut toujours aller visionner les premiers plans sur: http://www.liber-mirabilis.com
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