OFFREZ MES MOTS POUR LE PLAISIR

C’est vous qui êtes à la…
COMMANDE

Voici une bonne idée pour….
un anniversaire, une fête, une visite à l’hôpital, une visite chez votre voisine, un cadeau à votre pire ami, le petit dernier qui rentre en 6e, le papi à la maison de retraite, votre percepteur, Martine Aubry pour la faire sourire…
… mais pas aux sarkoboys, ni aux curés, pas plus aux représentants du corps médical qui ne comprendraient pas que mes livres sont des médicaments…
Vous passez la première au démarrage. C’est propre, rapide, efficace:  le livre est disponible
- auprès de l’auteur:
un petit courriel mathieu.bernard.roger@wanadoo.fr une enveloppe, un timbre,

  1. Alfred le Wisigoth Tome 1: le chèque de 17,90€ à l’intérieur
  2. Les Essayistes: chèque de 17,90
  3. La Méthode pour mieux écrire: 13,90
  4. Le retour du Barbare ( tome 2 d’Alfred le Wisigoth): 14,90
  5. Le secret du Manet révélé: 25,90.

Adresse : chemin du château d’eau
11170 VILLESEQUELANDE

- par téléphone c’est facile aussi ( il y a un répondeur ) Pour le chèque c’est idem.
Je tiendrai au chaud l’ouvrage que vous passerez prendre à la maison en même temps que l’apéro.
- en librairie:
- CARCASSONNE chez BREITHAUPT, rue piétonne centre ville Carcassonne
- Toujours à Carcassonne vous le trouverez dans la galerie de Chez Leclerc .
- Cultura ? NON ! L’endroit fait super marché culturel, c’est contraire à la philosophie du père Alfred. Macarel, la fois dernière il a failli se faire piétiner par une horde de caddies sauvages.
- CASTELNAUDARY : Désormais LA MAISON DE LA PRESSE  répond à la demande des aventure du Cousin local !
- MAUBEUGE: Librairie Vauban, place Vauban ( voir lien )
- AVALLON: Librairie Voilot Grande Rue 42 grande rue Aristide Briand Tel 03 86 34 10 50 -
- en ligne
- auprès de Manuscrit.com: cliquer sur le lien http://www.manuscrit.com/Edito/Auteur/Pages/@MarsRoma_Mathieu.asp
- le livre est disponible soit en format papier ( 17,90 + frais de port ) livré à domicile dans votre boite à lettres, soit en format PDF ( 7,90) livré par mail : 417 Ko.
auprès de Chapitre.com:
cliquer sur le lien http://www.chapitre.com ( 17 €) livré boite à lettre ( plus 1€ de port ).

- Alors maintenant que vous êtes décidé, hop un petit Alfred le Wisigoth sur le pouce et zou… la vie a changé.
Pour les anniversaires, les succès scolaires, une hospitalisation ( bien entendu c’est bon aussi pour le moral ) un divorce ( comme cadeau de rupture c’est aussi précis qu’un bazooka ) un baptême ( dans ce cas c’est difficile d’y revenir avec le même enthousiasme pour la première communion, mais pour apprendre à lire il n’y a rien de mieux que les délires d’Alfred ), en cas d’achat du Davichicode prévoyez un Alfred pour nettoyer- derrière- les neurones ) on aurait pu l’offrir également à tous les soldats américains en Irak pour leur redonner le moral mais la traduction en anglais n’est pas prête on coince sur certains termes texans ), excellent également pour le transit intestinal ce livre peut être lu d’une main ( non non je vois ce que vous voulez dire ) une main pour tenir la fourchette du cassoulet et l’Alfred dans l’autre, à votre femme qui fait chambre à part, à un curé, un ayatollah, un hébraïque, un heimatlos, à votre meilleur ennemi pour lui casser les “convictions”, … à votre pire ami pour lui montrer que vous êtes une personne pleine de civilités.
- Ce bouquet de sourires est en vente dans les meilleures librairies (* il n’est pas remboursé par la sécu malgré ses vertus thérapeutiques et la facilité avec laquelle , dans ce livre, les toubibs en prennent pour leur grade )
Avec Alfred le Wisigoth assurez un max.
Livre à rire mais aussi à réfléchir.

CE QU’ILS EN (mé)DISENT :….

Sophie Rostopchine : J’ai puni Sophie qui lisait Les mémoires d’un Hospodar de Guillaume Apollinaire. Couché, je lui ai dit, et pour tes peines tu me liras un chapitre d’Alfred. Du coup les malheurs de Sophie sont devenus internationalement connus (La comtesse de Ségur … et ça c’est certain !)
Gérard de Nerval : Heureusement que Bernard-Roger est arrivé 150 ans après moi car cet Alfred aurait pu être inclu dans mes Voyages en Orient.

Sidoine Apollinaire : Je viens de lire le dernier chapitre du Wisigoth et j’en parle de ce pas à mon ami Euric le Toulousain.

Zatopek : Voici un livre qui sur le fond marche bien. Si on ne l’arrête pas il ira loin.

Bacchus : Je m’en pourlèche les bacchantes !

Paul Valéry : J’ai beau faire, tout m’intéresse. Et quand la nuit choit sur Sète son manteau d’étoiles, j’ai plaisir à feuilleter ce livre que me tend la Jeune Parque. Trompettes de la renommée…. A la bonne vôtre !

J.C. : Pour un apôtre ce type c’est un bel apôtre. Père pourquoi l’avez-vous abandonné ?

Esculape : Alfred méritât bien le sacrifice d’un coq. Les « référents » dont il est question dans son ouvrage subissent là une piqûre de rappel bien infectée dans les fesses et j’espère qu’elle ne sera pas remboursée par la sécu. Un jour quand tout le monde sera maigre ablasigué on apprendra les vertus du cholkestérol, de l’almubine, du diabête. Et il sera trop tard. Le foie gras, la côte à l’os, le vin, le cassoulet, la carthagène, les fritons à l’apéo, la mougétade, le coustelou, seront prescrits en qualité de médicaments mais trop tard, les papilles gustatives seront définitivement ensuquées.
Le directeur de la sécu : Je souscrits entièrement à ce que dit Escalope, euh ! Esculpale.

San Antonio : Comme je l’affirmais encore dans « La faim des haricots » j’ai pompé comme un malade les traits d’Alfred qui pour moi est le Béru parfait !

Napoléon : Au pied du Sphinx Alfred 40 siècles de conneries je contemple. Lampe à néon, pelle à tarte !

Catinou et Jacouti : ( et après celle là j’arrête ) Lui : J’ai un copain qui lit la Dépêche du Midi et qui aurait pu se nommer Alfred. Elle : Son nom ? Lui : Moncoucut. Elle: mimique d’étonnement. Lui : Non ce n’est pas sa femme qui le nomme comme cela. Dans le midi où la poésie est partout présente cela veut dire le « Mont des Jonquilles sauvages ». Elle : Bon, c’est jaune quand même ! Et comme on dirait du côté du Lot : Oh my Gode, milo diou, milo diou !

ON PRENDRAIT BIEN UN MEDICAMENT !SOUS LA TONNELLE

Il était une fois un petit pays où la population nageait dans le bonheur.
On y buvait l’apéro, mangeait le cassoulet à l’ombre des platanes en disant gentiment du mal de son voisin, juste avant d’attaquer la sieste.
Puis, une maladie insidieuse, peu à peu, mouilla l’environnement.
Elle cibla en priorité: les esprits, les neurones, la pensée vive des défenseurs de l’art
honnête de regarder le temps qui passe à la gloire de l’humanité.
Les médecins, qui ont toujours de bons maux en réserve, la nommèrent
“Turpitude de la vie moderne”. La recherche, rapidement, mit au point un médicament nommé Alfred.
Cousin Alfred, apparenté pour 1/3 à Tartarin de Tarascon, 1/3 à Ma-
rius, auquel on ajoutera 1/3 de Chevalier de la Barre et un grand dernier tiers d’espoir en l’homme, arriva.
Il pointa son gros calibre chargé jusqu’à la gueule d’humour, en acier trempé dans le plaisir de vivre, dans une tradition qui a fait son nid dans l’exception française.
Avec sa confrérie il est entré en résistance bravant les intempéries de société.
La métaphore sonore et glorieuse, solidement positionnés derrière des comptoirs de
cafés philo qui comptent, ils font rempart de leur poitrine en tirant force canons.
” Et maintenant, a dit le Cousin Alfred, on tire sur tout ce qui bouge, toutes les conneries qui remuent “.
Pour une société plus juste, plus fraternelle et mieux éclairée…Bernard-Roger MATHIEU