30.03.10

Le Manet révélé nominé à Paris

Ecrit dans Actualité à 7:48 par Bernard-Roger MATHIEU

La Dépêche Ci-contre l’article de Françoise Carries du bureau parisien de La Dépêche du Midi ( photo Philippe Dobrowolska)

 
On commande aussi le livre sur: http://www.manuscrit.com/Book.aspx?id=12901
Le secret du tableau “créophage”

Tomber de l’autre coté du miroir cela vous est-il déjà arrivé ?

C’est la drôle d’aventure qui un jour arriva à Monsieur Paul.

M. Paul est un blaireau amoureux de la conservatrice du musée.

Il voue un amour démésuré également à l’Art.

Sa sortie du jeudi: la visite des galeries.

Cet amour va le jeter dans une enquête fabuleuse et dangereuse où il va tomber dans les mailles de bandes de faussaires rivales.

En 382 pages (25,90€ soit 6,9 ct la page pour être précis comme l’est ce livre jusque dans ses moindres détails et il y en a) l’énigme progresse sur les chemins de la Lumière.

A l’âge de 18 ans Edouard Manet avait fait une fugue au Brésil.

Pas banal pour l’époque en 1848. Sur l’hauturier (bateau de haute mer) sa route va croiser celle de deux compagnons du Devoir. Ils lui apprendront les secrets de la Lumière. En rentrant il va se mettre à la peinture et dès 1863 peindra le sulfureux “Déjeuner sur l’Herbe”.

Dernièrement, les gardiens du musée d’Orsay ont trouvé devant cette toile un homme nu. Vraiment le ” Déjeuner” n’a pas fini de mettre en appétit.

prochaines signatures
- Carcassonne: le samedi 17 avril de 14 à 18 h.
ESPACE CULTUREL LECLERC
- Carcassonne (Salon du Livre à la Cité) 8 et 9 mai.
- Revel (31): samedi (marché) 15 mai librairie du Beffroi de 9h à midi
- Le Vigan (Gourdon-Lot) Salon du livre 16 mai toute la journée
- Montcuq (Lot) le dimanche 6 juin ( au matin c’est marché)
- Toulouse La FNAC ( date non encore fixée)
- LECLERC Roques (31): courant avril, à fixer.
- Saint Orens (31) Leclerc à fixer.

25.03.10

Du nouveau: rubrique coin des lecteurs…

Ecrit dans Actualité à 1:43 par Bernard-Roger MATHIEU

huygheJean-Claude Huyghe témoigne et il ne mache pas ses mots, mieux il les colorie !

Pour se rincer l’œil, aller colonne de droite: Liens et chercher après Huyghe,

on trouve facilement et ce serait dommage de s’en passer.

Paris, tu m’as pris dans tes bras

Ecrit dans Actualité à 0:47 par Bernard-Roger MATHIEU

Passage du Retz ParisLe palmarès du premier concours du roman en ligne, sous l’égide du Ministère de la Culture, fut dévoilé, lundi soir à Paris, passage de Retz dans le Marais, devant quelque cinq cents personnes. Nouveau venu dans le concert des prix littéraires ce concours illustre une nouvelle génération d’écrivains qui a choisi Internet pour support.

Dans cette foule deux auteurs représentaient le Midi Toulousain.

D’une part notre ancien confrère Bernard Mathieu, heureux retraité de La DEPECHE DU MIDI, et d’autre part Ophélie Pemmarty, de Soual dans le Tarn tous les deux aujourd’hui auteur chez www.manuscrit.com, maison d’édition parisienne rassemblant plus de 5000 plumes.

Ils faisaient partie des nominés convoqués pour participer à cet événement culturel.  

Ils avaient, dans un premier temps, été sélectionnés dans un premier panel  de cinquante auteurs triés à l’échelon national.

Pour suivre Ophélie Pemmarty avec Ismène La Glorieuse, catégorie Extraordinaire et l’ancien journaliste de notre rédaction Bernard Mathieu avec son ouvrage Le Secret du Manet révélé figurant en catégorie Polar, s’étaient hissés jusqu’au dernier carré.

L’intrigue du Secret du Manet révélé se situe dans le milieu des faussaires suite au vol du Déjeuner sur l’Herbe d’Edouard Manet.

Le premier prix a été remis par Guillaume Gallienne, sociétaire de la Comédie Française.

Il est revenu de haute lutte à Isabelle Richet pour Logan Rock.

Parallèlement les jeunes auteurs s’alignaient dans le Prix du Premier Roman dont c’était la septième édition.

L’écrivain Marc Levy a remis ce prix à Dominique Chryssoulis pour Fantaisies d’été.

mais ou ai-je la tête ?

marc levyBernard Mathieu,  avec Le Secret du Manet révélé,  sort là son cinquième livre.

Il avait, notamment, précédemment sorti en 2007 un livre «  Les Essayistes » avec 53 adolescents de Castelnaudary. Elaboré pendant toute une année scolaire en 2006, ce livre, patronné et aidé par la Dépêche du Midi, avait fait l’objet, également, d’une récompense sous la forme d’une invitation spéciale au Salon du Livre de Paris, Porte de Versailles en mars 2007.
Le Secret du Manet révélé est sur http://www.manuscrit.com/Book.aspx?id=12901
Ismène La Glorieuse http://www.manuscrit.com/Blog_Auteur.aspx?id=9914
 

Légende de la photo en haut :

La pose camarade… ça c’est de la pose ! Même Martine n’en revient pas…BRM ici en présence de Mme Martine Lemalet, directrice générale des éditions Le Manuscrit, lundi soir, passage de Retz à Paris.Un grand moment !
(photo ddm Philippe Dobrowolska)

seconde photo:

L’écrivain Marc Levy rentré spécialement des USA pour remettre le prix ici avec Martine Lemalet qui d’une photo à l’autre a changé d’écrivain. Faut l’faire !

Martine Lemalet sur France Culture

Ceux qui étaient à l’écoute ont pu, ce vendredi 26 mars 2010, entendre Martine Lemalet des Editions Le Manuscrit s’exprimer sur le devenir des éditions en ligne.

Pour être livré à domicile d’un livre ( le Secret du Manet par exemple) il suffit de cliquer sur le lien http://www.manuscrit.com/Book.aspx?id=12901

Marche à suivre:

cliquer sur le panier, et hop le tour est joué,

il arrive dans votre boite à lettre

( port en sus car sans le port vous allez chez Leclerc Carcassonne ou n’importe où chez votre libraire habituel où il vous le commandera… par internet s’il ne l’a pas en stock)

Voir rubrique: où trouve t-on les livres, dans la colonne immédiatement ici à droite, en haut dans les pages.


15.03.10

MERCI LES GARS … encore un petit effort

Ecrit dans Actualité à 10:10 par Bernard-Roger MATHIEU

jean FerratMerci les gars… Jean Ferrat lisse sa moustache.

Ouf !

Pour un peu il serait parti sans son cadeau d’adieu.

Que disait Jean dans sa chanson ” Les Cerisiers”… écoutons-le.

Bien sûr on dira que c’est des sottises

Que mon utopie n’est plus de saison

Que d’autr’ ont chanté le temps des cerises

Mais qu’ils ont depuis changé d’opinion

Moi si j’ai connu des années funestes

Et mes cerisiers des printemps pourris

Je n’ai pas voulu retourner ma veste

Ni me résigner comme un homme aigri

Ah qu’il vienne au moins le temps des cerises

Avant de claquer sur mon tambourin

Avant que j’aie dû boucler mes valises

Et qu’on m’ait poussé dans le dernier train

Il ne reste plus qu’à transformer l’essai. Cela risque de se faire tout seul. Et peu importe dans le fond le second tour.

Il s’est passé quelque chose de profond dimanche.

Il le sait. Qui ? Sarko bien entendu!

Sarko, abandonné, voit repartir ceux qui un moment l’avaient préféré à Le Pen. De plus, d’autres, chatouillés par l’utopie avaient cru un moment que l’agitation pouvait être l’action. Villepin les attend. En se faisant les ongles, il soigne une image d’une droite plus classique. Plus propre sur elle. Celle qui n’a pas besoin de parader sur un yacht emprunté à un copain de bordée pour faire plus vrai que nature. En un mot plus aristo. Une Droite qui va bientôt préférer, on le sent, cela se voit, un représentant plus en accord avec ce qu’elle représente dans la lignée des Giscard ou des Pompidou. Le fou du roi, cela va bien un moment. Ceux là, déjà dimanche, sont restés dans leurs pantoufles, à la maison pour parler Avenir. En face Martine privée d’un carton plein en raison de Montpellier que Claude Bartolone voulait donner à la droite, a promené une épine dans le pied toute la soirée. Fabius, la tête pas très cathodique pour une fois, avait le regard coulé dans le bonze tibétain. La bouche en cœur, il pondait un œuf à chaque fois que les journalistes lui envoyaient de la « fraîche » dans les carreaux. Se sont-ils aperçus, ces parisiens de malheur, qu’en piétinant Frêche, ils marchaient sur l’honneur des gens du Sud ? D’ailleurs, si Miss Flandre ne regrette rien, il faudra quand même un jour présenter des « excuses socialistes » formulées dans les formes accoutumées non pas à Frêche, mais aux élus qui ont résisté. Elus soutenus comme un seul homme par 34% des gens du Languedoc (54 dans l’Aude). Merci aussi aux Communistes ( Henri Garino) qui ont résisté à leurs instances également parisiennes en demeurant solidaires dans leurs listes aujourd’hui adoubée par le peuple. A propos ??? Dans les 30% annoncés concernant, au niveau national, les résultats du PS… il s’y trouve les voix du Languedoc ou non ?

 

Là-bas hebdo du 21 mars 2010 


 Texte repris dans ma boite courriel et envoyé par un ami. 

Il s’agit de l’émission de MERMET sur France Inter qui passe tous les jours vers 15 heures. 

Chers AMG,

À notre grande surprise, notre  émission  hommage à Jean Ferrat  du lundi 15 mars a été  une des plus suivies de toute l’histoire     (modeste et géniale)   de notre émission, depuis une vingtaine d’années.

Vous avez été  nombreux à venir   saluer  la mémoire de  Ferrat sur ce site comme sur le répondeur de Là-bas, il était  impossible de diffuser tout vos  messages, pardonnez-nous mais  il aurait fallu plusieurs émissions…

Depuis longtemps (1975)   Jean Ferrat s’était dégagé de l’emprise du show biz et de la télé, ce qui ne l’empêchait pas de  rester populaire  bien au-delà de sa famille politique, sans avoir besoin de  s’abaisser au racolage médiatique.

Par comparaison, le parcours de Jean Ferrat montre à quel point le système de la culture de masse, condamné  à l’insignifiance , empêche le public d’acquérir  les moyens de son émancipation.

Qu’ils en soient ou non conscients, la plupart des  collaborateurs de ce système   sont aussi « engagés » que pouvait l’être Jean Ferrat, mais pas tout à fait du même côté de la barricade.

Jean Ferrat  fut de ceux qui s’adressent  à ce que chacun a  de meilleur et de plus digne. C’est la raison de cette reconnaissance fraternelle.  

Rendre hommage à Ferrat c’est  continuer cette lutte là, de ce côté-là.

Jusqu’au temps des cerises. 

Là-bas,  21 mars 2010