05.05.09

Le retour du Barbare

Ecrit dans Actualité à 18:56 par Bernard-Roger MATHIEU

dessin de Pierre BonnafousLe livre sort officiellement ce mois de mai en même temps qu’un second ouvrage : “Le secret du Manet révélé”.

Présentation officielle du tome 2 d’Alfred en mairie de Castelnaudary le samedi 16 mai entre 10h et midi (séance de dédicaces).
A lire dans l’Indépendant :

INDEP

Le samedi  6 juin de 15 à 18 heures, je serai avec le dessinateur Pierre Bonnafous qui exposera en même temps ses quinze planches illustrant l’ouvrage (voir les dessins dans l’album photo en cliquant sur la vignette à gauche) : ESPACE CULTUREL Leclerc Carcassonne.

Le samedi 13 juin de 15 à 18 h., seconde décicace en centre ville à la librairie Breithaupt, rue piétonne à Carcassonne.

les lieux signatures

Présentation des livres

NouveauLE RETOUR DU BARBARE annonce un roman décliné en  19 aventures :

Les Wisigoths sont dans la plaine; Le Prince et le policier; Kaisque t’en dis ? Eléonore perds pas le Nord; Cholestérol and rock’n roll; Je tiens une de ces formes; Môsieur, vous êtes un malade; Les normes européennes; Un soir chez les bobos; Eloge de la colère féminine; Viens ici ! Tu ne crois pas que t’exagères ? Le bouquet; Impression au soleil levant; Feu d’artifices; Boulot; La Bitte d’Alfred; Attention à la marche et J’ai tout connu.

à lire sur www.manuscrit.com

Le Wisigoth. Pourquoi ce surnom ? En lisant le tome UN, nous avons fait connaissance d’un jeune du coin monté à Paris mettre en exploitation un diplôme dont l’encre n’était pas tout à fait sèche. Là-bas repéré par son accent de la région de Toulouse ses collègues le baptisèrent  le Wisigoth. Au cours des IV et Ve siècle une brillante civilisation s’installa entre Narbonne, Carcassonne et Bordeaux avec Toulouse pour capitale. Il suffit d’ouvrir un annuaire des Postes pour s’apercevoir rapidement que nombreuses sont encore les familles à avoir un patronyme teinté. Citons les Got, les Goti, les Alric, Angalric etc.

Quant aux villages se terminant en “ens”, ils marquent leur origine du sceau de cette antériorité dont nous sommes les descendants.
Bien enraciné Alfred a gardé ce gout pour  bretailler, le bon mot en bandoulière, les tracasseries qui illustrent notre société d’aujourd’hui. Il y va de bon coeur. Il choisit ses victimes dans le camp “fragilisé” des empêcheurs de tourner en rond: les gendarmes, les policiers, les docteurs, les patrons … qui ne font rien pour se défendre. Au contraire, ils s’enfoncent dans leurs douloureux travers… tant pis pour eux !
Ces derniers, curés d’un nouveau genre à la morale pénible, sortant leurs carnets de sentences, le méritent souvent (toujours ?).
Souffrent de leurs exactions notre belle viticulture méridionale, les cafés, les restaurants etc. et autres lieux où il fait bon vivre. Car notre art de vivre là-dedans est menacé.

Pendant qu’Alfred flagorne ces régressants, ces pisse-froid, ces défenseurs de la tristesse environnante qui noyautent notre société, il soulève de vrais soucis. Même si parfois, pris à son propre jeu pointe comme un soupçon de mauvaise foi, même si quelques revers de dame fortune lui font prendre les pieds dans le tapis, il assume.
Toutefois, ces vrais problèmes soulevés, ne sont pas que d’ordre économique. Ils touchent par ailleurs des savoirs faire précieux. Ils sapent l’exception française. Ils dénaturent ce bonheur dans le pré. Il suffisait de se baisser pour le cueillir. Aujourd’hui les interdits mettent à l’index tout ce qui faisait plaisir. Le midi y perdrait-il son âme ?
Avec Alfred, il faut réagir. D’où ce

edition Le ManuscritRetour du Barbare qui trempe la plume dans l’humour, ce parfum de garrigue. Certains dirons: c’est du Pagnol. D’autres y reconnaitrons Rabelais ou San Antonio dans le style. Il y a aussi une pointe d’Achille Talon. Une pincée de Joseph Delteil ou d’Alphonce Daudet. Un coup de massue pour le délire où les mots marchent en régiments derrière son beau panache blanc.

Alfred le Wisigoth est un médicament. Un petit coup de spleen : rien de tel qu’un Alfred. On le prendra le matin pour bien commencer la journée… où le soir pour être certain de passer une nuit tranquille.

On peut réserver le livre en envoyant un courriel à

mathieu.bernard.roger@orange.fr

edition Le Manuscrit Le secret du Manet révélé

Les croyants disent que Dieu est Amour.

C’est l’Amour qui est le Dieu.

Ici on rit de l’Amour car l’Amour ne peut être triste au risque de se perdre. Alors entrons dans ce réseau de faussaires prêt à tout ?

Si l’argent ne leur est pas indifférent, la gaudriole flamboyante demeure l’axe principal de leur trafic. Ils trempent leurs pinceaux dans l’exemple des turbulents Impressionnistes qui régnaient sur la « Fournaise » au XIXe siècle.

L’existence du club (vraiment) spécial «  Les Enfants d’Edouard » se justifie par une découverte fabuleuse. Celle d’un secret que Manet était allé chercher à l’âge de 18 ans au Brésil. Ce Secret, où la Lumière joue un rôle majeur, dévoilé par des Compagnons du Devoir, n’est plus aujourd’hui connu que de quelques peintres (très) avertis.

Or, un jour vint Monsieur Paul. Un con naïf amoureux de la conservatrice du Musée. Conservatrice à qui, une nuit, on vola le tableau « Le Déjeuner sur l’Herbe de Manet ».  Et là tout se complique…

A table : ce Déjeuner, aux pouvoirs que l’on va dire « surnaturels », va faire l’objet d’une bataille sans merci entre plusieurs bandes d’allumés.

Le gagnant ne sera pas celui que l’on croit !

Monsieur Paul enquête et défend les intérêts de la Conservatrice.

Il embrouille tellement les cartes qu’il va jeter la panique dans les rangs adverses. Troublant !

AVERTISSEMENT SANS FRAIS…

Attention peut-on se marrer sur le dos du sexe ? Si l’inconscience venait à vous inciter à acheter ce livre, ne vous en prenez qu’à vous-même. Vous êtes prévenu !

  • Réserver mathieu.bernard.roger@orange.fr
  • http://www.manuscrit.com/book.aspx?id=12901

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