21.01.07
Et Alaux dépassa le portable
Pelures d’oranges, pelures de pommes, pelures d’acier, copeaux de cire, copeaux d’or, copeaux associés. Pour qui bande-t-il en écharpes de chemins, en sinuosités vagabondes, en quête de sens ? Bernard Alaux ludique du légo biscornu, jubile dans l’art de marier les éléments anecdotiques pour confiner à une unité. Ses peintures sont des rébus aux histoires de sales gosses faussement sages. Ici tout se racontent en coups de pinceaux léchés, précis, travailleux, élégants, dansants, sonores, époustouflants.
Ce roi du combiné a dépassé aujourd’hui le portable.Tracassé par l’espace, il investit du mètre carré en arabesques affriolantes où même les ombres sont colorées.
C’est pour moins t’affoler mon enfant !
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